Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


lundi 28 novembre 2011

Cadeau : Bach | Grumiaux


Dans le métro parisien...

on voit des garçons en tenue légère danser au son d'une musique inouïe...

Ligne 8 - Novembre 2011

Marlon Brando, une personnalité complexe (rediffusion de janvier 2011)

Jules César - J. Mankiewicz 1954
Sex-symbol en majesté du cinéma d'après-guerre, Brando (1924-2004) (selon Wikipedia, donc à lire avec modération) n'aurait pas fait mystère de sa bisexualité, dont il parle sans ambages dans une interview accordée en 1976 à Gary Carey.
Selon la même source, il aurait eu des relations charnelles avec Montgomery Clift, James Dean et Cary Grant.
Peter Manso fait référence à cette sexualité double dans sa "Biographie non autorisée" parue aux "Presses de la cité".
Il semble qu'avec le temps le voile se déchire sur les amours tumultueuses de cette forte personnalité qui marqua l'histoire du cinéma d'interprétations inoubliables : dans sa filmographie, du "Tramway" d'Elia Kazan au personnage halluciné(nant) qu'il incarne dans "Apocalypse Now" de F.Coppola, on reste bouche bée, en ce qui nous concerne, devant son Marc-Antoine dans l'exceptionnel "Jules César" de Mankiewicz (1954) et, bien sûr, son Don Vito Corleone dans Le Parrain de Francis Coppola.
On a glané, ça et là quelques photos révélatrices d'un magnétisme qui explique pourquoi il fut et demeure l'une des plus lumineuses étoiles (star) du firmament hollywoodien.







Aux côtés de James Dean.
On ne sait pas qui est le jeune homme qui s'appuie sur l'épaule de Jimmy...

... mais en y regardant de plus près...




Fesses pour tous les goûts

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Joue avec Gay Cultes : fais ton choix !
Pour le plaisir : rien à gagner !
Billet racoleur en attendant de retrouver l'inspiration...

samedi 26 novembre 2011

Dis moi ce que tu lis...

Réalisée par un copain, cette petite série est un vrai bijou : elle met en scène des handicapés.
Ici, traité avec humour, un hymne à la solidarité, toutes "différences" confondues.
Bravo !

Vestiaires - Têtu par Vestiaires

En neige et noir

Duffle coat et vareuse, je trouve ça très seyant.
Mais je sens venir un gros rhume.
S.

Ecrire, dit-il.


Pourquoi ne s'écrit-on plus de vraies lettres, avec un vrai stylo, sur du vrai papier ?


N'écris pas ! Je suis triste et je voudrais m'éteindre.
Les beaux étés, sans toi, c'est l'amour sans flambeau.
J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre
Et frapper à mon cœur, c'est frapper au tombeau.

N'écris pas ! N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes.
Ne demande qu'à Dieu, qu'à toi si je t'aimais.
Au fond de ton silence, écouter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel sans y monter jamais.

N'écris pas ! Je te crains, j'ai peur de ma mémoire.
Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent.
Ne montre pas l'eau vive à qui ne peut la boire.
Une chère écriture est un portrait vivant.

N'écris pas ces deux mots que je n'ose plus lire.
Il semble que ta voix les répand sur mon cœur,
Que je les vois briller à travers ton sourire.
Il semble qu'un baiser les empreint sur mon cœur.

N'écris pas ! N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes.
Ne demande qu'à Dieu, qu'à toi si je t'aimais.
Au fond de ton silence, écouter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel sans y monter jamais.

... N'écris pas !

(Poème de  Marceline Desborde-Valmore mis en musique par Julien Clerc)

Tout le monde a besoin d'amour ;-)







Si vous avez une préférence...

vendredi 25 novembre 2011

jeudi 24 novembre 2011

Lâcher de garçons en milieu naturel

Toutes les photos
ont été glanées
ça et là, sauf:
Photo 1 (en haut) : Joshua Trottier
Photo 8 : Alex Stoddard (Flickr)